Mercredi 15 mars: Toulouse, Manifestation 15h St-Cyprien – Saint-Gaudens, Manifestation 15h place Jean-Jaurès

Ils ont les bras d’honneur, nous avons la population !

A l’appel de l’intersyndicale, les salariés et citoyens se sont à nouveau mobilisés massivement ce 11 mars.

Les grèves se multiplient et avec encore aujourd’hui plus d’1 million de manifestants dans près de 250 lieux de rassemblements et de manifestations, la réponse de la population face au mépris d’Emmanuel Macron et du gouvernement est claire.

Leur réforme doit être retirée sans délai !

Plusieurs millions de salariés, de retraités, privés d’emplois, de jeunes ont battu le pavé depuis le 19 janvier. Plusieurs millions de travailleurs en assemblée générale votent des arrêts de travail, notamment en reconduction sous diverses formes. Ceux qui détournent leur regard de ces mobilisations massives ne les honorent pas.

Le déni de démocratie ne peut plus durer.

Le gouvernement répond aux injonctions du patronat pour faire travailler plus les salariés. Alors démultiplions et amplifions les luttes. Poursuivons les assemblées générales dans les entreprises et les services pour décider des arrêts de travail et des formes de reconduction.

Faisons du 15 mars, jour de la commission mixte paritaire entre les deux chambres législatives, une nouvelle puissante journée de grève et de manifestation pour faire retirer ce projet de réforme libéral.

Samedi 11 mars – Toulouse 10H30, St-Cyprien – Muret à 15h, Rassemblement et manifestation (sous-Préfecture , allées Niel) – Mercredi 15 mars : Toulouse, Manifestation 15 h00 St-Cyprien.

L’intersyndicale appelle à une nouvelle mobilisation interprofessionnelle ce samedi 11 mars puis dès la semaine prochaine, à une journée de manifestations et de grève, le mercredi 15 mars, jour de la commission mixte paritaire, moment important du calendrier parlementaire.
Elle appelle toute la population à continuer la mobilisation et les actions, encore plus massivement pour dire non à cette réforme injuste et brutale.

Manifestations unitaires du 7 mars : Toulouse, 15 heures , Saint Cyprien – Labège, 15 heures URSSAF , rue Pierre Marie Curie – Muret, 15 heures, allées Niel – Saint Gaudens, 15 heures, place Jean Jaurès

Le 8 mars, : Toulouse à 14 heures, Saint-Cyprien

L’unité syndicale est toujours aussi solide qu’au départ. Les organisations s’accordent sur la nécessité de donner un cadre exceptionnel à la mobilisation à partir du 7 mars.

L’appel à mettre la France à l’arrêt, dont il nous remonte qu’il suscite un élan important parmi les salariés,  nécessite une volonté et une impulsion hors du commun pour mettre un coup d’arrêt significatif à la production dans tous les secteurs, aussi bien du public que du privé, l’industrie, le tertiaire, les services…

Tract unitaire :

7 mars le pays à l’arrêt.

Jeudi 16 février… Paris 300 000…  Marseille 90 000…  Toulouse 65 000…et les salarié-e-s de Latécoère en tête de manifestation…une mobilisation qui se poursuit malgré les vacances scolaires, les jours de grève qui pèsent sur les budgets…et pour se réserver pour le 7 mars…

Le 7 MARS le pays à l’arrêt… le 8 mars journée spécifique pour les droits des femmes… le 9 mars la jeunesse veut se faire entendre aussi à l’appel de leurs organisations syndicales…et ensuite….jusqu’à la victoire!

https://www.cgt.fr/comm-de-presse/apres-le-16-fevrier-durcit-le-mouvement

Réforme des retraites, Réforme sexiste, réparons la Grève féministe ! Soirée débat le 16 Février 18h à la Bourse du travail

Métiers féminisés et dévalorisés, inégalités salariales, carrières hâchées, temps partiel imposé, pénibilité non reconnue, pensions impactées la réforme de la retraite décryptée !

Soyons nombreuses et nombreux à la soirée débat organisée

Jeudi 16 février à 18H à la Bourse du Travail

A l’appel d’organisations syndicales et politiques et de collectifs et associations féministes

Au programme

  • Témoignages de travailleuses
  • Intervention de Geneviève Azam économiste d’ATTAC pour décrypter la réforme des retraites et ses impacts
  • Débat sur les luttes

Retraites : Prochaine manifestation jeudi 16 février 10h – Saint-Cyprien

Saint-Gaudens : 15 H place Jean- Jaurès 

Le gouvernement et les parlementaires ne peuvent pas être sourds à cette mobilisation puissante

Avec près de 2 millions de manifestants, le 7 février a confirmé, s’il était encore nécessaire, la très forte détermination à refuser le projet de réforme des retraites présenté par le gouvernement.

Depuis le 19 janvier, des millions de travailleurs et travailleuses, du public comme du privé, jeunes et retraité.e.s, de plus en plus exaspérés de ne pas être entendus par le Gouvernement, se sont mobilisé.e.s, par la grève et/ou ont manifesté sur l’ensemble du territoire.

La population soutient plus que jamais la totalité des organisations syndicales professionnelles et de jeunesse qui s’oppose au recul de l’âge légal de départ à 64 ans et à l’allongement de la durée de cotisations. Plus de 9 travailleurs sur 10 rejettent la réforme, plus des 2/3 de la population soutiennent les mobilisations.

De nombreux experts se font entendre pour dénoncer l’injustice et la brutalité de cette réforme. Ils pointent des éléments justificatifs insuffisants, peu quantifiés voire erronés.

Une démocratie qui fonctionne se doit d’être à l’écoute de la position largement majoritaire de la population qui s’oppose à cette réforme. Face à un gouvernement toujours sourd, alors que l’examen du projet de loi a débuté hier à l’Assemblée nationale, les parlementaires doivent prendre leurs responsabilités en rejetant ce projet de loi.

L’intersyndicale appelle toute la population à faire grève et à manifester encore plus massivement le jeudi 16 février sur l’ensemble du territoire pour dire non à cette réforme.

D’ici là, elle invite à interpeller les députés et sénateurs et à multiplier les actions, initiatives, réunions ou assemblées générales partout sur le territoire, dans les entreprises et services, dans les lieux d’étude, y compris par la grève.

L’exécutif portera l’entière responsabilité des suites de ce mouvement social inédit par son ampleur et désormais ancré dans le paysage social. Le gouvernement doit retirer son projet sans attendre la fin du processus parlementaire.